samedi 24 septembre 2011

La matinale.

J'ai bien plus peur du rejet que de la solitude. Si ça avait été le contraire, je me serais sans doute sentie esseulée moins souvent. Mais c'est comme ça, et je suis sans cesse tétanisée. Une chose en entrainant une autre... je me retrouve là, à minuit cinq devant mon PC, les paupières lourdes de fatigue, affublée d'une humeur exécrable et l'esprit embrumé par d'épais nuages aigres, à écrire ici pourquoi je suis seule, toujours.

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